L'inscription extra-scolaire. ( Avec Oko alias O.O K )

Samedi 14. Je sort de l’infirmerie de l'établissement, pas vraiment aussi bien que je l'espérais, l'explosion de la dynamite ne m'a pas fais de bien du tout, Le Docteur Quiin, ma dit que j'avais eu des jolie fracture dans le dos, la colonne vertébrale a été touché. Handicapant une petite période future, l’ordonnance du Doc est simple, « Repos » un repos pour que je récupère naturellement. Donc, pas d’entraînement physique rude, car oui les entraînement personnelle que j'exerce sont assez rude, pour maintenir une forme athlétique. J'ignore pourquoi, mais malgré tout, je ne peu me séparé de mon arme de poings, il doit m’accompagnai partout, est-ce la fièvre de l'ouest ? Arme sur la hanche, ton seul véritable amis et toute ces connerie ? Cela ne m’empêche pas de me levés, mais je trouver que mes douleur au dos été comme a l'explosion... explosif, me fessant un mal de chien.... est-ce du a la surconsommation de cacher d'anti-douleur. Je me demande malgré tout, comment j'ai pus oublié mon poncho, et mon chapeau, ainsi que ma sacoche. Je retourne derrière pour les récupéraient.
Arrivant maintenant a l'entrée de l'établissement, j'essayais de refaire marché ma mémoire, de par ou étais-je sortit après m'être retrouver en face du bureau du directeur. De par ou ?Je regardais innocemment les lieux, innocemment ? Été vraiment le bon mots ? Enfin... en mes qualité d'observatrice, j'observais chaque détail du hall en quêtes d'indices, malheureusement, la journée mouvementé d'hier m'avais fais perdre un peu la boule. Au final, je jouer a la devinette, marchant lentement, dans un couloir, si je vais trop vite, la douleur de mon dos en sera insupportable. Dans un courant d'air, un corbeau se posa sur mon épaule, j'ignore vraiment comment il a réussi a venir jusqu'ici comme ça, mais le sourire me revint, mon précieux compagnon était toujours parmi nous.
Coup de chance magistral, je retrouve la porte du « directeur ». Certainement une des plus belle porte en bois de tout l'établissement, oui certainement. Alors a mon habitude et avant d'entré... je toc distinctement, trois fois sur la jolie porte.

Messages : 131 Date d'inscription : 22/05/2012 Age : 30

Le soleil était de sortie en cette matinée aux douceurs printanières. Ces rayons traversaient la grande fenêtre de la pièce de bois pour la baigner d'une lumière claire. La salle était tout en silence, ce qui pouvait contraster avec les montagnes de papiers empilés, certes soigneusement, mais qui s'additionnaient sur le grand bureau. Etrangement, dans ce pensionnat pourtant si animé, il semblait régner ici, à l'instant, une certaine atmosphère paisible. Peut-être était cette impression qui avait permis au directeur de trouver – avec cette sérénité apparenté et éphémère – un peu de repos. Car contrairement au apparences, il y avait bien un être vivant dans cette pièce. Octann était a moitié allongé dans un petit canapé, situé à un extrémité de la salle aménagée comme un point plus détente et moins stricte, un de ses pieds sur la table basse. Le directeur avait réussi à trouver le sommeil au levé du petit jour après trois longues journées sans nuitées. Avec ce petit séjour au pays de Morphée, les soucis pouvaient enfin disparaître et les cernes paraître moins bleutées, même si cela ne l'empêchaient guère de rester très bel homme.

Soudain, trois petits coups se répercutèrent, se propagent aisément dans cet espace dénué du moindre bruit. Ces éclats subtils firent l'effet d'un réveil pour Octann qui ouvrit de suite les yeux. Combien de temps s'était-il assoupis ? Une minute, une heure peut-être deux? Il ne pouvait dire mais il avait l'impression d'avoir dormi cent ans et pleins d'énergie. Même si réveil était synonyme de retour au quotidien et aux problèmes qui allaient avec, il se sentait de nouveau d'attaque ! Octann se redressa, réarangea sa chemise, remis de l'ordre sur la table. Il passa en vitesse une main dans ses cheveux mi-long, un peu ébouriffés mais si soyeux. Il pressa le pas afin de ne pas faire patienter davantage sa visite, et avec un sourire ouvrit la porte. Son sourire s'agrandit alors en découvrant alors une jeune demoiselle, à la peau claire, aux yeux azur et à ses cheveux si originaux d'une couleur aussi pure que la neige... Avec un original acolyte sur son épaule, un corbeau au plumage de jais qui contrastait tellement avec celle qui paraissait être son maître. Le directeur avait eu vent de l'arrivée d'un « étranger » au sein de Whiteriver town, qui dès son arrivée avait eu un rôle au cœur de la résolution de la mort d'un des anciens de la ville . Sans nul doute s'agissait elle de cette jeune fille. Elle paraissait affaiblie mais non pas fragile. Oko sentait ses choses là...

Bonjour mademoiselle. Je vous prie de m'excuser pour l'attente et pour cette allure décontractée. En tout cas, sachez que je suis tout à votre disponibilité, Octann-Ozwyl Keystone Entrez,je vous en prie !

Octann, tout en douceur,en charisme, après lui avoir serré délicatement la main, invita alors la jeune fille a entrer et à prendre place dans le fauteuil figurant en face du canapé.
Cette jeune dégageait un quelque chose , une aura particulière. De plus, Oko était heureux de pouvoir souhaiter la bienvenue dans les meilleures conditions possibles. Et ce rôle du Directeur était un de ses favoris, et pas un des plus courant surtout en cours d'année scolaire.

Puis-je aussi vous proposez quelque chose à boire , mademoiselle …. ?

Ainsi, en voulant mettre à l'aise la prise de connaissance entre eux, une double question s'effectua subtilement. Et Octann avait la curiosité de connaître le nom de la personne qui était déjà une de ses protégées.

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