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 ABBOTT Aiden

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Aiden Abbott
Aiden Abbott

Messages : 4
Date d'inscription : 23/06/2012
Age : 31

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MessageSujet: ABBOTT Aiden   ABBOTT Aiden I_icon_minitimeMer 15 Aoû - 23:49

dead
ABBOTT Aiden



Nom : Abbott
Prénom : Aiden
Date de naissance : 11 Août
Âge : 15 ans
Groupe : Rifle Bullets
Orientation : Probablement hétérosexuel.



Aiden est un garçon qui a passé sa vie à l'extérieur plutôt qu'à l'intérieur. Aiden est un garçon qui s'est toujours battu et pour qui la violence prône sur toute autre forme de discussion. Aiden est, enfin, un garçon qui n'a jamais été riche. Et tout ça se voit sur lui, se devine, s'analyse. Par sa manière de parler, de marcher, Aiden Abbott vous crie son milieu d'origine et le paysage que ses yeux d'enfant et d'adolescent ont vu défiler.

Aiden est le portrait craché de son délinquant de père: Même peau foncée, même cheveux bruns, même yeux marrons dans lesquels danse en permanence une lueur d'agacement et de colère. Le garçon gagnerait à prendre soin de son apparence, car il est loin d'être laid, mais se regarder dans la glace tous les matins est tout au fond de sa liste de priorités. Ses cheveux sont trop souvent en bataille et couverts de poussière et de sable. Ses tenues, mal arrangées et passées à la va vite, lui donnent un air négligé dont il se fiche tout à fait. Ses mains ont été habituées aux durs travaux dès sa plus tendre enfance, et sont par conséquent marbrées de fines blessures et sa poigne est forte. Forte comme seules savent l'être celles des travailleurs acharnés, ceux qui comptent sur leurs bras et non sur leur tête. Son apparence est sauvage, peu soignée. On pourrait croire en le voyant arriver que ce jeune homme sort tout droit des montagnes, sans aucune notion de civilité. Du haut de son mètre quatre-vingt, Aiden est grand pour ses quinze ans, et s'il ne possède pas une musculature impressionnante, on ne peut nier le fait qu'il soit bien bâti. Quoi de plus normal pour un jeune homme de sa condition, qui compte sur sa force pour régler ses problèmes ?

Son visage exprime une envie farouche d'espace et de liberté. Les sourcils froncés, il fait plus souvent la tête qu'il ne sourit. Pourtant, quand il sourit, un petit sourire légèrement de travers mais charmant, son visage s'éclaire et dissipe cette impression d'animal acculé que dégage Aiden. Seulement, ces sourire sincères sont bien rares. La plupart du temps, il sourit pour appuyer son cynisme ou son insolence: Un éclat moqueur, désagréable. Le garçon semble aussi mauvais qu'il ne l'est vraiment.


Aiden est violent, Aiden est vulgaire, Aiden n'use jamais de diplomatie pour régler ses dettes. Aiden a appris tout ce qu'il sait de son père, une morale parfois douteuse malgré le bon fond dont elle se veut l'émissaire. Par où commencer cette longue liste de ce que les autres nommeraient sans le moindre doute des défauts ? Le brun est très indépendant et autonome. Peut-être une des rares choses que l'on ne peut lui reprocher. S'il a des problèmes, ça ne regarde que lui, et il ne lui viendrait jamais à l'idée d'y entraîner sa famille ou ses amis. Il met un point d'honneur à réaliser ses taches seul, à pouvoir se tirer de tous les pétrins seul, attitude qui le pousse un peu trop souvent à rejeter l'aide des autres, quand bien même elle pourrait lui être d'une grande utilité.

Aiden est un homme violent, fait de pierre: Il ne se pense pas invincible, mais a trop confiance en ses capacités. Chercher à parlementer avec lui est inutile, il ne sait que frapper pour gagner. Vous vous heurterez à un mur en cherchant à l'adoucir ou le calmer par des propos. Aiden est quelqu'un dont l'ardeur ne disparaît jamais. Il est sans cesse en train de faire quelque chose, de s'occuper les mains. C'est un garçon actif, il est dommage qu'il n'utilise pas toute cette énergie pour la bonne cause. Vulgaire, de sa bouche ne sortent que très rarement de belles paroles polies et douces. Il aime se faire entendre, aussi n'est-il par contre par rare de l'entendre crier, s'exclamer, injurier une personne ou un meuble. Aiden est très expansif, c'est sa manière de s'exprimer.

Débrouillard certes. Vulgaire, aussi. De mauvaise humeur. Il lui arrive cependant d'être de bonne humeur, et dans ces cas-là, il sera plus aimable que de coutume, sans pour autant se montrer généreux et serviable. Aiden tiens jalousement à ce qu'il possède, et ne le prête à personne. Il déteste cordialement les personnes qui ont la belle vie et celles qui ne fichent rien: A ses yeux, la vie est un dur labeur, et on récolte le fruit de ses efforts. On peut aussi apercevoir un brin de jalousie dans ce discours. Lui qui n'a jamais rien eu facilement, il envie au fond ceux qui ont tout eu en claquant des doigts. Mais ça, plutôt mourir que de l'avouer, évidemment.

Pour finir, Aiden est fier. D'une fierté à fleur de peau qui le fait réagir violemment aux provocations. Il ne supporte pas qu'on se moque de lui, de ses amis, de sa manière d'agir, de sa cause... Bref, tout ce qui se rapporte à lui et ceux auxquels il tient. Il est aussi utile de préciser que le garçon a des solutions, disons, la plupart du temps radicales (on la tue et on jette son corps dans la rivière et voilà, par exemple). Heureusement, le jeune impulsif n'a jamais eu l'occasion de les mettre en pratique jusqu'ici: Il y avait toujours quelqu'un pour l'arrêter avant qu'il ne s'énerve vraiment.


La famille Abbott vivait dans une modeste maison à l'écart de Whiteriver Town, et personne ne s'en plaignait. Pas que leur présence soit dérangeante en soi, mais rares étaient les membres de la famille qui plaisaient aux habitants de la ville. Ils se souvenaient tous, pour ceux qui étaient en âge, d'un jeune homme violent nommé Jeremy Abbott, qui avait jadis aimé semer la terreur dans les rues. Son nom évoquait d'amers souvenirs, et si la surprise avait gagné les voisins quand il avait épousé Felicy Daniels, ils avaient tous été ravis qu'il s'installe à l'écart et leur fiche enfin la paix. Là, la demoiselle, fille d'étrangers récemment installés en ville, lui avait donné huit enfants, dont une petite fille qu'un rude hiver avait fait trépasser à deux ans à peine. Le spectacle de ces sept enfants qui passaient le pas de la porte pour s'aligner devant leur mère, le matin, avait quelque chose d'amusant. Voici ce qu'un ami de la famille aurait pu dire s'il les avait regardés un de ces fameux matins: En premier venait l'ainée, Nora, avec ses tresses brunes toujours impeccables et sa robe qu'elle lissait anxieusement. Soucieuse de plaire, elle était la seule dont les habitants ne se méfiaient pas. La seconde, Jenny, ne prenait pas la peine de coiffer ses boucles sauvages, ni de bien ajuster sa robe; Elle sautait à pieds joints en poussant des exclamations ravies, avant de se placer aux côtés de sa soeur. Le troisième, Aiden, était un garçon aux sourcils froncés, réplique exacte de son père, qui avait déjà prouvé maintes fois qu'il n'avait pas seulement hérité de lui son visage. Le quatrième, William, était tête en l'air, pas bien méchant, mais son manque d'attention offusquait régulièrement. Le cinquième, Braden, était distant et guère bavard, chose que la plupart des gens trouvaient étrange chez un enfant de son âge. Les deux derniers, enfin, étaient aussi proches que l'auraient été des jumeaux: Se tenant la main, les réactions de Fletcher et Kameron étaient les mêmes, et ils ne se quittaient que lorsque la chose s'avérait nécessaire.
En ordre par âge, une place laissée entre Braden et Fletcher en souvenir de la petite Mary, décédée, leur mère les embrassait pour leur dire bonjour, et leur père suivait peu après pour leur distribuer leurs tâches de la matinée. La vie chez les Abbott n'était pas oisive: Tout le monde y mettait du sien et travaillait, les garçons avec leur père à l'extérieur, et les deux filles avec leur mère à l'intérieur. Il y avait beaucoup à faire, et jamais assez de temps pour tout faire. Du matin jusqu'au soir, les petits étaient occupés et travaillaient, se forgeant le corps et l'esprit ainsi que leur père l'entendait.

Aiden a passé sa vie entière dans cette petite maison, et si le confort manquait souvent à la famille, jamais il ne s'en plaint. Jeremy était un homme violent et strict qui ne supportait pas qu'un de ses enfants demande plus que ce qu'il possédait déjà; Sous ses dehors rudes, cet homme avait malgré tout un certain principe de la vie, de la famille et du bonheur. Un principe à lui qu'il comptait bien passer à ses enfants. Voici, en quelques passages, ce à quoi ressemble la vie qu'Aiden a passée auprès des siens, de la plus futile des discussions d'enfants à l'accident qui a fait prendre à sa vie un tournant différent.




'Goodbye Mary'

Spoiler:

'Chercheur de pierres'

Spoiler:

'Tu es un homme, tu ne dois pas pleurer'

Spoiler:

'Et le silence'

Spoiler:




Aiden jeta un regard inquisiteur à son père, assis dans un fauteuil en face de lui dans le salon. Pour qu'il l'ai fait venir ici et l'ai fait asseoir, ce dont il voulait discuter devait être sacrément sérieux. Avec appréhension, Aiden posa son dos contre le dossier de bois de la chaise. Il redoutait les confrontations avec son père, pour la simple mais bonne raison qu'elles n'étaient jamais bon signe.

« Aiden, commença Jeremy, faisant sursauter son ainé, maintenant que tu as quinze ans, il y a quelque chose dont je dois te parler. (Il laissa passer un petit silence, scrutant attentivement les traits tendus d'Aiden) Cela va faire deux ans que ton frère est mort. Ta soeur a nommé son ainé après lui. Beaucoup de larmes ont été versées. Ce qui est fait est fait, personne ne nous rendra William. Personne ne le peut. »

Aiden déglutit difficilement, passant son regard sur le plancher. Il ne pouvait pas regarder son père ou sa mère en face quand ils lui parlaient de William. Malgré les deux années qui s'étaient écoulées depuis son enterrement, le souvenir et la culpabilité étaient aussi vivaces qu'au premier jour dans son cœur. Son père en était conscient. Dans un élan de compassion, il ne lui demanda pas de relever les yeux et le laissa se dérober sans pour autant arrêter de le fixer.

« Je sais pourtant que si c'était possible, ta mère donnerait sa vie en échange de la sienne. Mais c'est ainsi et nous n'y pouvons rien. Malgré tout, il est de notre devoir de penser à lui et garder près de nous son souvenir, comme nous l'avons fait pour Mary. La douleur passe avec le temps. Aussi ais-je quelque chose à te demander en la mémoire de ton défunt frère. »

Poussé par la curiosité, Aiden se risqua à observer de nouveau son père. Son visage fermé et dur ne lui apporta pas le plus petit indice sur la chose dont il voulait l'entretenir, ni quel rapport elle pouvait avoir avec William. Jamais Aiden n'avait vu son père ôter le masque qu'il portait, mis à part deux fois. Deux fois il avait cru voir à travers cette épaisseur d'insensibilité; Chaque fois qu'un de ses enfants était mort. Là, la douleur avait suinté. De manière infime, mais Aiden l'avait vu. En ce moment, le masque était lisse et sans aspérité. Chercher à voir à travers était peine perdue. Il se contenta donc de hocher la tête et attendre la suite.

« William avait de l'ambition. Il aimait lire, il aimait étudier. Il voulait devenir quelqu'un, mais il n'est plus là pour réaliser son rêve.

-Je...

-Tais toi, laisse moi continuer. C'est toi qui va réaliser son rêve. C'est toi qui deviendra quelqu'un. Prends ça comme un moyen de te repentir de ton erreur. Ton frère est mort par ta faute. A toi d'honorer sa mémoire comme il le faut. »

Aiden resta un instant sans voix, la bouche ouverte sur une phrase qui ne sorti pas. Il s'était attendu à tout sauf à ça. L'idée l'affola complètement; Lui, devenir quelqu'un de cultivé ? Quelqu'un d'important ? Il ne savait raisonner que par les poings ! Il n'avait aucune chance d'y arriver, aucun goût pour le labeur mental. Il ne ferait que salir les attentes de son père et les ambitions de son frère. La panique du se lire sur ses traits, car son père reprit son discours, la voix plus ferme et sévère.

« Tu iras au pensionnat de Whiteriver Town, et c'est tout. Tu y étudieras et tu en ressortiras pour suivre le parcours que ton frère s'était destiné.

-Père, je... Je ne pourrais jamais ! Ma situation me plaît, j'aime travailler ici. Je ne suis pas fait pour un grand avenir, je ne suis...

-Ma mère, le coupa Jeremy, m'y avait elle-même inscrit. Elle pensait que je parviendrais à me sortir de la pauvreté ainsi. Elle pensait que seule la richesse pouvait satisfaire l'âme. Elle avait tort. Elle ne pensait qu'à se démener de la situation dans laquelle elle s'était mise en fréquentant cet homme duquel elle n'a eu que des ennuis. Elle m'aimait sûrement, mais elle enchainait les erreurs. Elle s'est tuée à m'offrir quelque chose qui ne me convenait pas, et j'ai du l'enterrer trop tôt. Si ça n'avait tenu qu'à moi, jamais je ne t'aurais envoyé là-bas sans ton consentement. Mais c'est une toute autre affaire. Il s'agit de ton frère. Tu dois vivre pour lui car il est mort par ta faute. »

La tirade ôta toute force à Aiden de protester. C'était la première fois que son père lui parlait volontiers de sa grand-mère Emily; Une fille-mère, dont il n'aimait guère évoquer le souvenir. Il savait que son père ne l'aurait pas inscrit contre sa volonté, car tous deux se ressemblaient, tous deux voyaient les études comme une perte de temps. Rien ne valait la force des bras et du courage, du labeur. Mais pour William qui aurait demandé à y aller, il devait le faire. Pour son frère. Pour son petit frère qui les avait quittés par sa faute. La dernière phrase de son père laissait comme une boule sur son estomac et dans sa gorge, mais Aiden se força à garder une attitude convenable. Il était un homme. Un homme ne se laisse jamais aller, jamais.

« Bien, réussit-il à articuler, je ferais ce que tu me diras de faire. Pour William.

-Oui, pour William, ne l'oublie jamais. C'est pour ton frère que tu dois vivre. C'est ta punition, ton fardeau. Va, maintenant. Retourne travailler tant que tu le peux. Bientôt, tu ne seras plus ici. »

Aiden se leva, chancela imperceptiblement, et sorti de la pièce, raide comme un bâton. A l'époque de la mort de William, son père ne l'avait pas puni, ne lui avait rien dit, pas le moindre reproche. Sa mère l'avait tenu contre elle et lui avait répété que rien n'était de sa faute, qu'elle l'aimait et qu'elle ne voulait pas le perdre. Il avait trouvé sur le moment qu'un tel traitement était injuste; Il avait causé la chute de son frère, il l'avait tué. Pas directement, mais il avait plongé dans l'abîme par sa faute. Ce crime méritait un châtiment qu'il s'était étonné de ne pas avoir reçu. A présent, c'était chose faite: Deux ans d'attente pour toute une vie d'efforts consacrés à un fantôme qui le hanterait à jamais. De toute façon, pensa tristement Aiden, même sans ça, il n'aurait pu cesser de penser à William. Il revenait chaque nuit pour lui rappeler son faux pas. De là où il était, il refusait de le laisser tranquille. Me lâche pas, me lâche pas...
Il l'avait lâché.

Aiden buta contre Jenny en passant le pas de la porte.

« Aie ! Hey, tu pourrais faire attention, quand même ! »

La jeune femme remit en place ses boucles folles, avant d'ouvrir de grands yeux.

« Qu'est-ce qu'il y a ? Tu as l'air bizarre.

-C'est rien, tenta de la rassurer Aiden, notre père m'a juste dit que...

-Oh, je vois. Ça y est, il te l'a dit.

-Oui. »

Que Jenny ait été au courant avant lui ne le surprenait pas; Sa mère, Nora et ses frères devaient également l'être. Il poussa un long soupir brisé, fit un pas à l'extérieur sans se retourner vers sa soeur. Ce fut elle qui l'arrêta en l'apostrophant.

« Aiden ! (Le jeune homme se retourna vers elle avec une mine perplexe) Tu sais... Tu n'es pas obligé de t'en vouloir autant. Ce qui est arrivé à beau être de ta faute, je suis sûre que William ne t'en veut pas. »

Un rire amusé passa le cap de ses lèvres entrouvertes. Il passa une main qui tremblait légèrement sur son visage sombre.

« Comment pourrait-il ne pas m'en vouloir ? Je n'ai pas réussi à lui sauver la vie.

-Mais tu as essayé. Ça change tout, crois moi. Tu as essayé, et il le sait. Il t'as déjà pardonné. A toi de faire le reste. »

Sans rien ajouter d'autre, Jenny ouvrit la porte et s'engouffra à l'intérieur, disparaissant dans l'ombre de la maison qui l'avala toute entière sans rien laisser d'autre d'elle qu'un parfum de terre. Aiden resta là devant le perron, la tête levée vers le ciel bleu. Les rayons du soleil vinrent caresser son visage comme ils l'avaient fait ce jour d'été, dans les montagnes qui abritaient le lac White. Pensif, il se mit à ressasser les leçons que lui avait apprise la vie. Il les compta une à une, les récita.

La vie lui avait appris que rien n'est éternel. Elle lui avait également appris que les hommes devaient assumer leurs bêtises seuls, ne pas entrainer leurs proches dans leurs ennuis. Elle lui avait appris que l'argent ne faisait pas le bonheur, qu'on trouvait de la joie à simplement être en famille. Elle lui avait appris que la détermination était la clé de la réussite, qu'il n'y avait rien de mal à frapper pour s'en sortir. Aiden baissa les yeux sur ses mains sales de terre, sales de vie. Elles étaient fortes et dures, zébrées de petites coupures, de légères cicatrices. Étaient-ce les mains d'un homme cultivé ? Non. Mais elles devaient le devenir. Pour William. Pour son père. C'était tout ce qu'il lui restait à faire.

Aiden se remit à avancer, car il fallait travailler, peut-être pour la dernière fois. Bientôt, il devrait intégrer un pensionnat où une guerre différente faisait rage, à laquelle il participerait tout en avançant.

A l'horizon, une silhouette d'enfant s'effaça avec un rire. Ou peut-être n'était-ce que les rayons du soleil qui jouaient à cache-cache avec le vent.



Surnom : Sur la toile, on m'appelle Never~ Nevy pour les intimes.♥
Âge : 19 ans. Ce que je me fais vieille !
Comment avez-vous trouvé Whiteriver Town ? En votant sur un forum, j'en ai profité pour regarder le top-site et suis tombée sur celui-là, tout simplement.
Un commentaire, une idée ? Le design est magnifique, rien à redire, c'est du beau travail. Après, j'aime moyennement le blanc sur blanc quand je me connecte avec mon personnage. C'est... Pas très pratique. Mais ce n'est qu'un détail, cela dit.
Maintenant, la question sur le discours du juge Simsons qui vous permettra d'obtenir votre titre de séjour. Quel geste fait le juge Simsons pendant l'intégralité de son discours ? Tu as l'oeil et le bon


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Matthiew F. Field
Matthiew F. Field

Messages : 278
Date d'inscription : 10/05/2012
Age : 29

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MessageSujet: Re: ABBOTT Aiden   ABBOTT Aiden I_icon_minitimeJeu 16 Aoû - 14:33

Flick Knife


Bonjour et bienvenue à Whiteriver Town,
Je n'ai vraiment rien a redire, la fiche est parfaite, une histoire bien sympathique et surtout une façon d'écrire que j'aime bien.
Ton avatar est parfait, ton code est ok et je crois que je n'ai plus qu'a te valider et te souhaiter de passer de bons moments dans notre famille :D
N'oublie pas de mettre un îcone dans le listing avatar pour que je puisse t'ajouter à la liste et de faire ta fiche de rp et de liens avant de commencer à rp !
Encore bienvenue et à la prochaine !


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ABBOTT Aiden

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