Tu es la bourrasque de mes esprits. Un jour, tu m'expliqueras ce que tu fais ici. Un jour. Parce que moi, je n'ai toujours pas compris ton but. Tu es là pour tout le monde mais en même temps, tu es là pour toi seule. On dirait que tu complètes un carnet de connaissances dans ta petite tête juste pour le plaisir de sourire. Tu n'es pas comme les autres. Tu ne parles pas pour ne rien dire, plutôt pour ne rien taire.
Tu es la jeune fille au milieu des ogres. Tu te joues de nous et de nos démarches lourdes, de nos membres encombrants. Tu parcours les lieux à la même vitesse que nous. Tu es insupportable mais tellement agréable.
Je ne pactiserais pas avec toi, démon !

Tu es le barber sur mes membres. Tu t'infiltres en moi et me laisse frigorifié. La glace se dépose sur mon corps avec tout le dédain qu'elle peut et m'annihile, me fait disparaitre. Elle m'enfonce dans sa haine et sa douleur. Elle m'entoure de ses bras dangereux. je ne peux plus bouger. je ne peux plus émettre un son. Je suis là, mais pas dans tes yeux. La glace ne se craquelle que quand tu sors de la pièce.
Tu es l'ogre soft. Tu es le centre de la clairière, entourée par tes tendres soldates et nous, tu nous fais tous disparaître derrière les buissons. Ton but : gagner. Et tu ne nous laissera pas dire un seul mot.
Je ne plongerais jamais dans ton regard. Jamais !

En cours...

Tu es le vent du midi qui s'écoule dans mes veines. Tu réchauffes mon être et me surprend à chaque instant. Tu sembles être une enfant. Tu sembles être douce. Tu sembles être joueuse. Tu l'es. Tu l'es. Cependant, tu es aussi violente et cynique. Quelle drôle d'idiote tu fais, toi, la schizophrène incomprise. Laisse-moi rire devant tes yeux. Laisse-moi rester dans ton regard. Ne me lâche pas tour de suite, moi aussi je ne suis qu'un enfant.
Tu es l'ogre rose. Ok, c'est pas très poétique mais tu vois ce que je veux dire. Tu es celle qui rougis pour un rien tout en faisant semblant de ne pas s'en apercevoir. Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit jeu , mais à ce jeu, tu as perdu mon salami (oui, parce que rose=salsami !). Tu as succombé et je l'ai vu, que tu étais tombée dans mon coeur. Malheureusement, j'ai aussi succombé et pas vraiment en bien. Je suis un idiot et tu es l'idiote.
Sale manipulatrice, reste auprès de moi !