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 Wyatt du clan Mac Dwyken

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Wyatt McDwyken
Wyatt McDwyken

Messages : 18
Date d'inscription : 15/06/2012

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MessageSujet: Wyatt du clan Mac Dwyken   Wyatt du clan Mac Dwyken I_icon_minitimeSam 16 Juin - 21:27

Professeurs
Wyatt MaDwyken



Nom :McDwyken
Prénom :Wyatt
Date de naissance :4 août 1721
Âge :35 printemps
Groupe :Professeur de survie dans l'ouest/de Tir
Orientation :Hétéro sexuel.




On dit toujours qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture, hé bien si ce proverbe ne s’adaptait pas à Wyatt il serait plus prêt d’inspiré de la pitié plutôt que la crainte. D’une carrure svelte et longue du haut de son mètre quatre-vingts deux, on a tendance à croire que le moindre coup de vent serait apte à le mettre à terre. Son visage aux traits tiré marqué la plupart du temps d’épaisses cernes ont tendance à le faire passer pour malade, pour ne pas dire sur le point de rejoindre les verts pâturages du grand ouest. Rajoutons à ce sinistre tableau sa courte chevelure d’un noir jais aussi sombre qu’une nuit sans lune, ainsi que ses yeux rouge carmin qui ne font que ressortir encore plus sa pâleur naturel, lui donne un aspect à la limite du cadavérique. Professeur nouvellement nommé, sa tendance à vouloir être « digne » de son poste dans cet établissement où il fut formé donne le résultat déplorable de le voir toujours propre et tiré à quatre épingles.

Cependant attardons-nous plus sur le fond plutôt que sur la forme, dépoussiérons la couverture et parcourons ses pages. Sous cet uniforme noir et blanc qui n’est pas sans rappelé ce vautour de croquemort ce cache soixante-dix kilos de muscles taillé au scalpel, résultat de quinze longues années à bourlinguée à travers l’ouest sauvage, ne s’arrêtant jamais bien longtemps ce formant seul apprenant la vie aux dépends de son corps qui se trouve bardé de cicatrice, traçant sur sa chair une véritable biographie de sa vie. Ses mains pleines de calles et la forte odeur de poudres, comme d’huile pour l’entretiens des armes tend à prouver qu’il en trimballe en permanence avec lui, pourtant nul holster visible nul bosse sous ce lourd imperméable noir, il est donc normal de ce posé des questions sur cet homme. Souvent on en vient à se poser des questions sur la potentielle menace qu’il pourrait représenter ou si il joue un simple rôle. Par contre tous le monde doute complètement qu’il est pu passer sa jeunesse à Whiteriver Town où pareil guerre fait rage, pourtant c’est bien le cas.

Nous avons ainsi, d’un côté un homme qui passe plutôt pour un col blanc en surface, tandis qu’une fois le vernis gratté on découvre un Homme musclé entretenu qui trimballe une pointe de mystère pour ceux s’attardant sur ce spectre au teint blafard. Pourtant il a des choses à dire bien que sa tenue ressemble plutôt à celle d'un croque mort le couvre-chef exclu. Cette dernière dispose de quelque singularité peut commune à commencer par son pantalon ou plutôt la jambe droite, bien qu’il affiche un complet noir sur chemise blanche, cette partie de son costume semble plus rigide que le reste et surtout elle affiche une couleur marron bruni parsemé de fin filament gris bien que l’entrejambe disparaisse sous son lourd veston de couleur noir fédéral. La rumeur raconte qu’un homme comme lui n’a surement pas les moyens de ce permettre d’avoir plusieurs tenue du genre, probablement l’aura-t-il raccommodé à l’aide de chute de cuir suite à un accident quelconque ayant mis en charpie cette partie de son costume. L’autre singularité est cette ceinture qui l’arbore, il est inutile d’être le forgeron du village pour savoir que la dite « ceinture » est en métal et de bonne épaisseur, étrange je vous le concède mais qu’est ce qui ne l’es pas chez celui qu’on surnomme le croquemort. N’oublions surtout pas ces anneaux couleur or et argent qui orne sa manche droite et son chapeau, trois anneaux couleur or et deux argents n’ayant aucune utilité quelconque dans cette tenue si ce n’est d’attirer le regard et détérioré un tissu de qualité. Voilà à quoi ressemble Wyatt du clan Mac Dwyken, banal physiquement, mais une curiosité ambulante par ses « gouts » vestimentaire.



Un homme parmi tant d’autre voilà ce qu’on pense de lui, il n’a pas une grande intelligence ni un beau langage. Bien sûr il a son franc parler et se trouve être un franc-tireur pour lui la vengeance n’a pas le temps de refroidir. Wyatt est un adepte de la légitime défense anticipé, marchant totalement à l’instinct sa première impression qu’elle soit la bonne ou la mauvaise il n’y a que peu de chance qu’elle change, ce qui ne sert qu’à souligner son côté têtu. N’y allant jamais par quatre chemin vous connaitrez le fond de sa pensée, cet homme sait ce qu’il veut et comment l’obtenir sous ce regard morne et ce visage impassible ce cache une ténacité hors norme et un esprit qui refuse l’échec qu’importe les efforts à fournir, il atteindra son objectif. Si on devait dire dans quoi excelle cet homme d’origine écossaise c’est dans l’acharnement, dans sa jeunesse il n’avait rien il n’était pas moyen dans quelque domaine mais au ras des pâquerettes dans tout, ce fut cet esprit qui fit de lui ce qu’il est aujourd’hui, un homme qui n’a pas à rougir de ses capacités, son expérience de la vie est sa meilleur arme.

D’un point de vue social, c’est un loup solitaire n’accordant que peut sa confiance pour ne pas dire jamais, d’un naturel bougon il fait mauvais de chercher à le taquiner, sa prose n’est pas affuté en revanche ses actions sont acérer, vous pouvez le croire ou non mais il est préférable de savoir quand on doit se retirer plutôt que d’insister. Bien sûr vous pouvez persévérer et tenter de lié amitié avec cet ancien baroudeur. Vous pourrez gratter ce vernis pour découvrir ce qui se cache en dessous si le cœur vous en dit. Hé bien c’est la même chose qu’en surface, il ne joue pas un rôle, il ne cherche pas à ce donner une image de sale type. Il est ainsi et on ne pourra surement plus le faire changer. Cependant il n’est pas qu’ombre et ténèbres, il a aussi une part lumineuse, serviable voilà ce qu’on pourrait dire de lui, toujours prêt à aider sans qu’une quelconque demande soit formulé, inutile de demander ni même d’attendre une proposition de sa part, il vient, il aide et repart sans attendre de remerciement et encore moins la plus petite récompense. C’est en quelque sorte le mieux que vous puissiez attendre de sa part si vous ne faites pas partit des rares élu qui ont obtenu sa confiance.

Si par chance ou malheur vous faite parti des gens à qu’il porte une haute estime, il devient littéralement envahissant, toujours dans les extrêmes une fois sa confiance acquise attendez-vous à le voir débarqué n’importe où, n’importe quand, même si c’est juste pour vous proposer ce jus de chaussette qu’il ose appeler du « café ». D’un autre coté n’ayant que peut à perdre il sera prêt à faire parler la poudre pour votre sauvegarde si il juge cela nécessaire ou sur simple demande. D’un autre coté si il ne peut pas vous encadrer et qu’il a des comptes à régler il faut savoir que rien n’est trop horrible ni répugnant pour lui, n’étant pas homme refusant de ce salir les mains, ses actions seront à la hauteur des vôtres envers lui.




C’est durant une chaude journée d’été avec un soleil à son zénith que le petit Wyatt naquis sous le signe du Lion, il représentait désormais la septième génération du clan Mac Dwyken, une famille de fier écossais émigré il y a soixante ans dans le village de Whiteriver Town, autant dire que le poids qui pesait sur les frêles épaules du nourrisson était imposant. Le seul fait de voir le jour avait eu pour la conséquence d’hériter des espérances de ses parents comme des « anciens » de la famille. Bien qu’au début il fut entouré de tendresse et d’amour à l’extrême, très vite il fut mis au travail et à l’apprentissage rudimentaire de la dure vie du Far-West. Ce fut rapidement que ses parents dure se rendre à l’évidence, Wyatt était un enfant bu banalité qu’ils jugèrent comme affligeante, il ne possédait rien de spécifique. Ce ne fut pas pour autant qu’ils arrêtèrent de l’aimer, mais il était indéniable qu’un fossé avait vu le jour lorsque la cruelle évidence que leur enfant ne serait pas au-dessus de la masse, il n’avait pas hérité des qualités de leader de son père ni de l’intelligence de sa mère. C’est dans une atmosphère ou quoi qu’il fasse rien n’était pas suffisamment bien que Wyatt grandi jusqu’à l’âge de ses quinze ans, année qui marquait son entrée dans le pensionnat de la ville. Combien de fois n’avait-il pas entendu l’histoire qui avait scindé ces lieux en deux clans bien distinct, maintes et maintes fois son père lui avait compté les exploits qu’il avait réalisé en ces murs. Comment il avait résisté à la gente féminine et son envie de prendre le pouvoir. Notre jeune écossais était déjà pétri de certitude quant à son devenir au sein de cette école.

Il le savait, il le savait parfaitement, il savait … que pour remonter dans l’estime de la fierté familiale retrouvé son rang dans sa fratrie, il devrait se faire une place au soleil par ses actes et non ces paroles dans cette école. Il devrait s’auréoler de gloire par des actions d’éclats pour ça qu’importe la façon. Totalement lucide de ses capacités, ce fut naturellement qu’il suivit les traces de son père en mettant son bras armé au service des « The rifle bullets ». Un simple bras armé voilà ce qu’il fut les premières années, sa vie ce rythmant entre cours et action coup de poing sur les deux parties féminin, toujours sur la brèche ce qu’il ne possédait pas en capacité il le compensait par sa hardiesse à la limite de la folie furieuse. Bien vite il fut connu pour sa témérité et surtout pour le faite que rien ne lui faisait faire le moindre pas en arrière. Pour toutes les actions qui réclamaient vengeance on le trouvait prêt à l’accomplir et à force d’entrainement sous la houlette de ses ainés il passa de médiocre à bon. Il payait de sa personne pour ce faire un nom, pour l’amour et la reconnaissance d’un père il scellait son avenir, mais qu’est-ce qu’un devenir si on n’a pas de présent à vivre ?

Deux longues années de travail acharné, voilà ce qui lui fut nécessaire pour atteindre une position respectable parmi les Rifles, pour obtenir des félicitations chaleureuses de son père qui constatait qu’il n’était plus une ombre mais une lueur que l’on pouvait suivre. Pourtant lorsque l’on atteint des sommets on se croit intouchable, lorsqu’on arrive au but que l’on s’est fixé on relâche sa vigilance. Notre petit Cow-Boys l’ignorait mais ce qui promettait d’être la plus grande leçon de sa vie, il allait l’apprend de la plus cruelle des manières, lui qu’on surnommait à cette époque Wyatt l’impitoyable, découvrit une chose toutes nouvelle pour lui. L’amour ! Était-ce dû à ses hormones en folie ou de réels sentiments lui-même l’ignore encore, mais ce fut une Orchids qui lui ravit ce cœur d’adolescent encore « innocent ». À bien y repensé ces quelques instant passé avec cette demoiselle furent peut être les plus moments de son passage dans le pensionnat. Wyatt commençait à voir au travers de cet amour interdit la futilité de ces affrontements qui opposait la gente féminine à celle masculine. Il envisagea même à rejoindre ce groupe prônant la paix dans l’établissement. Petit à petit il glissa sur une pente qui l’éloignait de ce qu’il avait si durement acquis. Lorsque tout ceci pris fin, ce fut d’une manière tragique qu’il ne n’aurait pu imaginer. L’amour n’avait été qu’une vaste comédie mener de main de maitre pour l’éloigner lui ainsi que des éléments jugé comme trop difficiles à affronter de front ce trouvant dans les rangs des Rifles. Car il n’avait pas été le seul visé, mais il fut celui qui paya les pots cassé en raison de sa notoriété, triste revers de la médaille d’être sur le devant de la scène. Juger durement de cette inversion de la balance des pouvoirs, rendu responsable du triste résultat d’une pièce de théâtre que l’on nomme Tragédie. Il fut le dindon de la farce lorsque toutes l’affaire fut étaler par des Orchids fière de leur coup d’éclat et de Wyatt l’impitoyable il devint Wyatt le minable, preuve était faite qu’une réputation bâti de long terme s’écroule au premier coup de vent. Délaissé par ses pairs, sujet de moquerie par ses ennemis il ne put affronter sa famille après sa et surtout pas son père, deux ans à construire un statut respectable, six mois à en profiter, un jour pour tout perdre, sot qu’il avait été d’avoir cru à un avenir meilleur, les femmes non plutôt les Orchids sont sournoise et vil jamais il aurait dû croire à cette idylle. Il n’aurait pas dû ouvrir son cœur, donné son respect et sa confiance, mais tandis qu’il fuyait la ville sur le dos de la vieille Betsy, la carne en fin de vie que sa famille utilisait pour certains travaux. Il avait retenu ce jour sa plus grande et terrible leçon, jamais plus il n’accorderait sa confiance. Bien sûr il aurait pu venger sa dans le sang, exécuter la fautive, la faire souffrir dans un maximum de bruit et devant témoins, tenté de laver son honneur de n’importe qu’elle façon, mais bien que l’idée lui avait traversé l’esprit, il ne put s’y résoudre car si tout ceci ne fut qu’un jeu pour elle, ce ne le fut pour lui et ses sentiments était réel tout comme la douleur qui lui traversait le cœur et meurtrissait son âme alors qu’il tournait le dos à sa ville natal.

Suite à ça, sa vie ne fut qu’une longue et morne errance seul, acceptant le premier job qui passait pour remplir sa bourse de maigre dollar d’argent, trainant ses guêtres dans le désert de l’ouest sans de réel but. Vaquant à de futile occupation comme un vagabond à travers des paysages sans fin, traversant ville et patelin ne s’arrêtant que par moment histoire d’offrir son service en tant que Ranchero, voir même mercenaire, s’attirant plus d’ennui par son sale caractère que de sympathie par son travail. Sa vie n’avait désormais que peu de saveur il ne la vivait pas, il survivait à elle. Il accumulait l’expérience de la vie à ses dépens comme il l’avait toujours fait car il voulait survivre pour un jour retourné parmi les siens. Ces longues années d’errance où il refusait de se lier à quiconque lui fit perde le peu de sociabilité et de joie de vivre qu’il possédait encore à son départ. Finalement il devint un homme taciturne froid et solitaire. En contrepartie de ce qu’il céda de sa personnalité il obtint une expérience phénoménale de la nature humaine mais surtout du grand Ouest. Ce fut dix-sept ans après qu’il décida de rentrer dans son village natal, Whiteriver Town. Elle c’était quelque peu agrandit en son absence mais il se sentit tout de suite comme chez lui, comme si il n’avait jamais quitté cette petite bourgade. La douleur toujours présente moins vive mais bien qu’il la croyait disparu celle-ci semblait remonter des tréfonds de son âme à chaque pas qu’il faisait en direction des imposantes bâtisses.

Bien sûr au prime abord on le dévisagea comme un hurluberlu qui c’était perdu et échouait ici couvert de crasse et de poussière comme il l’était, le teint blafard malgré ce soleil brillant de mille éclat suscitait des questions même le croquemort de la ville ce permis de venir prendre les mesures de notre homme avant de finir dans l’abreuvoir du saloon de la ville. Après quelque temps quelque personne le reconnurent d’ancien camarade de classe s’étant creusé leur trou après leur sortit du pensionnat et ayant une situation stable. Sa famille à son grand regret n’était plus mais sa lui ôtait le poids des explications et de voir ce regard de mépris qu’il avait imaginé pendant dix-sept longues années. Un soir ou la cantine de Joe était pratiquement déserte notre honnête tenancier ce permis après mainte hésitation et bafouillage de faire la conversation. Cela faisait un bon mois bien tassé qu’il avait reposé ses éperons et Joe fut le premier à oser lui parlé de ce qu’il ignorait, peut-être avait-il jugé que Wyatt avait le droit de savoir ce qu’était devenu ses proches en son absence, même s’il ne posait aucune question. Il le lui raconta la voix peiné mais à bonne vitesse comme si il pensait ainsi le faire moins souffrir avec pareil nouvelle. Le fils McDwyken appris ce soir-là que son père fut le premier à disparaitre à peine un an après son départ, le sot avait remis son colt à la ceinture pour chasser du hors la loi espérant ainsi redorer le blason familiale, décidément il resta fidèle à lui-même jusqu’au bout toujours à penser à sa réputation, il mourut dans une triste embuscade pour tendu par une cible d’à peine cent dollars. Wyatt ne put ni en rire ni en pleurer, d’un côté pour pleurer un proche encore faut-il avoir des atomes crochu avec lui, en rire ? Impossible lui il avait mis sa vie dans la balance pour moins que ça, des fois juste pour une poêlé de fayot et de bœuf sécher. Ce fut la mort de sa mère qui lui retourna vraiment l’estomac, après la mort du paternel elle fut en difficulté pour gérer les terres du clan et quand le grand père disparut à son tour ce fut tout simplement impossible, refusant toutes aide extérieur par simple fierté, douze longue années à batailler pour survivre avant de rendre son dernier soupire avec comme seul regret celui de ne pas avoir revu son fils. Joe n’eut le temps de poursuivre en voyant quelque larme perlé sur le visage fantomatique de Wyatt il aurait tenté de présenté ses condoléances si il n’avait pas vu cet œil haineux et emplis de colère qui émergeait de sous le rebord du chapeau de l’écossais. Wyatt ne finit pas son verre ce soir-là et laissa même sa bouteille sur le comptoir avec deux dollars d’argent sur le comptoir, pourboire en remerciement de ces éclaircissements sans nul doute.

Wyatt n’avait plus de terre comme la coutume le voulais dans le Far-West, les occupants des terres mort et sans nouvelle du l’héritier elle était revenu à la ville qui les avait revendu au plus offrant. Il ne possédait plus que la maison quelque délabrer de son enfance qu’il avait pu réacquérir avec son fond de bourse et une négociation un peu musclé. Ne pouvant devenir éleveur ni agriculteur faute de moyen et de terre, n’ayant que peu d’occasion de travail dans ses cordes dans les environs ce fut qu’après longue réflexion et une grande résignation qu’il se tourna vers ces bâtiments ou il vécut le plus grand drame de sa vie, le pensionnat. Il réussit à se faire embaucher comme prof en raison non pas de ses méthodes pédagogique et encore moins de son intelligence mais plutôt de la somme de connaissance qu’il possédait dans son domaine. Il était devenu professeur du pensionnat, lui qui les avait haïs étant jeune, c’était plutôt hilarant de le voir en devenir un par simple envie de récupérer légalement ce qui aurait du être sien.




Surnom :le Croquemort faute de mieux mais je fait confiance à mes élèves.
Âge : majeur et vaciné depuis un petit moment
Comment avez-vous trouvé Whiteriver Town ? sur Vélusia
Un commentaire, une idée ?Beau design, contexte de l'ouest original j'adhère et une communauté accueillante que demande le peuple ? Sinon si la double matière est impossible je réfléchirai à quoi gardé mon absence de la ville est peut développer mais c'est pour garder quelque As dans ma manche quand à ce que j'ai pu faire si problème il y a celui-ci sera développer. Merci et j'espère que la lecture aura plus.
Maintenant, la question sur le discours du juge Simsons qui vous permettra d'obtenir votre titre de séjour. Quel geste fait le juge Simsons pendant l'intégralité de son discours ?OK




Dernière édition par Wyatt McDwyken le Dim 17 Juin - 17:29, édité 1 fois
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Matthiew F. Field
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MessageSujet: Re: Wyatt du clan Mac Dwyken   Wyatt du clan Mac Dwyken I_icon_minitimeSam 16 Juin - 23:33

Flick Knife


Bienvenue à toi mon grand Wyatt !
Bon alors dans un premier temps je vais te dire que les matières que tu demande comme prof, c'est possible, la survie et le tir étant de pair, il n'y a pas de soucis à ce que ce soit toi le maître pour ça !

Dans un second temps, voila, je ne vais pas te valider tout de suite, non pas que ton histoire ne va pas ou autre chose hein, je te rassure à ce niveau tout est nickel, c'est clair et tout. Mais le hic vient des fautes hehe, qu'elle mot vulgaire, tu ne trouve pas ?
Donc voila ce que je vais te demander : Prend le temps de te relire, ils y aura des choses qui te sauteront aux yeux comme les oublis de mot ^^
Ensuite, j'oriente tes recherches de fautes vers les gestions de pluriel, ils manquent des pluriels à certains endroits, fait donc attention à ça. Puis fait aussi attention à tes mot que ce termine en -é ou -er, pose toi bien la question "pris, prise ou prendre ?".

Voila tout, ensuite je pense que si tu passe tes textes sur Word, le logiciel se fera un plaisir de t'indiquer certaines des erreurs ^^

Ah bientôt cher prof ! Et bonne chance !



Dernière édition par Matthiew F. Field le Mer 2 Jan - 18:25, édité 1 fois
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Wyatt McDwyken
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MessageSujet: Re: Wyatt du clan Mac Dwyken   Wyatt du clan Mac Dwyken I_icon_minitimeDim 17 Juin - 17:39

Professeurs
Hum voilà shérif après un dur labeur j'ai éliminer des erreurs et rajoutant des mots manquant, les correcteurs orthographique n'existant pas sur mon ordi j'espère ne rien avoir raté. Sinon j'ai rallongé mon retour au village que je trouvait un poil bâcler donc vouala c'est maladif chaque relecture ajoute des lignes ^^.

Merci pour la rapidité et content que tu es trouvé l'histoire Bonne
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Mary-Jane Kins
Mary-Jane Kins

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Localisation : Chez monsieur le Bonheur.
Age du personnage : 18

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MessageSujet: Re: Wyatt du clan Mac Dwyken   Wyatt du clan Mac Dwyken I_icon_minitimeDim 17 Juin - 17:54

Chef des the Orchids


Je te remercie tout d'abord d'avoir prit la peine de corriger toutes tes fautes. Ainsi, le verdict tant attendu, cher professeur, tu as maintenant ton titre de séjour parmi nous, dans la merveilleuse ville de Whiteriver Town, tu peux dès lors prendre ton post au pensionnat, et commencer tes cours. Sur ce, tu es, bien entendu, VALIDÉ !!!

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MessageSujet: Re: Wyatt du clan Mac Dwyken   Wyatt du clan Mac Dwyken I_icon_minitime

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