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 Quand le train aura sifflé trois fois PV [Lily]

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Wyatt McDwyken
Wyatt McDwyken

Messages : 18
Date d'inscription : 15/06/2012

Quand le train aura sifflé trois fois PV [Lily] Empty
MessageSujet: Quand le train aura sifflé trois fois PV [Lily]   Quand le train aura sifflé trois fois PV [Lily] I_icon_minitimeDim 6 Oct - 8:29

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On l’entendait au Loin le cheval de fer, il avançait ce rapprochait, faisait vibrer les rails pour finalement ralentir dans un cri strident et continu de ce cheval de fer qui obligeait les rails à entamer leur complainte de souffrance, monocorde et lancinant allant en crescendo pour finalement ce stopper dans le sifflement aigu du train qui rentrait en gare. Déversant quelque voyageur descendant dans ce nuage de vapeur produis par la chaudière du monstre de métal que l’on rechargeait abondamment en eau. Les proches allant à la rencontre des nouveaux arrivants pour les accueillir, mais savait t’il vraiment où ils posaient les pieds ? Il ne tarderait pas à le découvrir, charmante petite bourgade de loin, terre de tous les dangers de près ou les journées étaient rythmé au gré des coups de feu et de folle course poursuite, pour un natif ce n’était qu’un mode de vie auquel ils s’étaient habitué, le style de vie de Whiteriver Town. Un visiteur quant à lui devant ce taux de violence qu’il qualifierait sans nul doute de gratuite, cette ville représentait l’ouest dans sa forme la plus pure, le vainqueur ou plutôt le survivant décidait de ce qui était juste et bon, la justice voilà qui était un vain mot sur cette terre ou la poudre servait de procès, le poison de jury et la lame de bourreau. Un jour un voyageur en direction de Washington DC eu décidé de faire un passage dans ce village et à peine deux semaine après son départ il fit parvenir au maire de la ville une coupure de journal du Washington Bugle qui commençait ainsi :
« les plus fine gâchette de notre ère sont toutes passé par une petite bourgade de l’ouest, Witheriver … »
Pourtant rien ne changea en ville si ce n’est quelque passage de cow-boys, la tranquillité rien n’avait changé à cette petite vie tranquille qui ne connut pas de croissance démesuré à cause d’une petite notoriété créé par la presse.

C’est pour cette raison employés de la ligne comme à leur habitude s’affairait pour coordonner le ravitaillement en charbon comme en eau du moyen de transport le moins sûr de l’ouest, la gare de Whiteriver c’était animé d’un seul coup comme pour célébrer le passage de cette chose qu’on appelait le progrès, on pouvait comparer cette scène à une petite fourmilière amenant de quoi nourrir une reine de fer et d’acier. Puis un homme en bleu sortit de la masure en bois à proximité, aplatissant ses cheveux gras avant de se coiffer de son képi pour finalement porter un long sifflet en Cuivre à ses lèvres :

TRllll, TRIIIIIIT …

« Mesdames et monsieur le train va bientôt partir les voyageurs sont prié de prendre place à bord !! »

TRllll, TRIIIIIIT …

Comme un obscur de signal les gens de passage presser de quitté ce monde de folie rentraient dans les Wagon pour s’y entasser tel du bétail qu’on mène à l’abattoir, ou plutôt tel des hommes et femme repartant vers leur vie plate et mornes loin de tout petit événement qu’on jugeait comme inapproprié à la bienséances d’un monde civilisé, mais on surnommait pas le grand ouest, « l’ouest sauvage » pour rien le monde civilisé ne l’avait pas rattraper et on y trouvait des gens simple qui tachait de dompter leur environnement et de laisser leur empreinte dans le temps. Finalement les machinistes reprirent leur place et lorsque le quai en bois poussiéreux fut vider l’agent des lignes ferroviaire ce fit happé lui aussi par le train dont le sifflet retentit pour annoncer son départ. Un nuage de vapeur remplissant l’air, le froissement du métal des rails sur lesquelles les roues lisse du train patine, le craquement du bois des wagons qui se font tiré lentement avançant poussivement voilà ce qu’était le vrai signal du départ d’un train que rien ne semblait pouvoir perturber, que rien ne devrais perturber le quai c’était vider des badauds, des arrivant, des employé seuls restaient quelque personne agitant un mouchoir ou agitant la main pour dire au revoir à ceux qui quittait la petite bourgade. Cependant sans prévenir la complainte du sifflet de l’agent du chemin ce fit entendre dans le cheval de fer signe de complication à l’intérieur interpellant le peu de personne encore présente et créant surtout un probable chaos dans les Wagons.

Les machinistes y répondant par un inhabituel  coup de sifflet de la locomotive, aujourd’hui le train aura sifflé trois fois. Étrange signale que voilà pour la scène quelque peu hors norme qui s’en suivit du coté opposé au quai même pour Whiteriver Town, une selle venait de voler de l’un des fourgons de marchandise pour atterrir lourdement au sol soulevant un épais nuage de sable les machinistes chargeait la chaudière le plus vite possible vu l’épais nuage de fumée qui s’échappait de la cheminée du train, puis ce fut au tour de fonte de cavalier au cuir usé et écaillé de suivirent s’ouvrant en l’air pour éparpillé tout son contenu partout sur le sol sur quelque mètre. Couverture de bivouac sauvage, gourdes métallique cabossé, cartouchière, armes diverse allant du couteau au six coups, rasoir, blaireaux, comme des objet plus … inhabituel tel que des livres épais, des fioles au liquides coloré certaines ce brisant d’autres roulant au sol un épais morceau de bois à moitié sculpter, une paire d’éperons …

Le train finit par arrêter de patiné pour prendre de la vitesse rapidement lorsqu’une énorme boule bleu et noir en fut éjecter, amas de chair et de vêtement curieusement entremêler heurtant le sol pour ce mouvoir dans une étrange valse et finalement ce stopper, l’agent des chemins de fer semblait être au prise avec un probable clandestins fraichement débusquer et qui ne semblait pas être prêt à être remis entre les mains d’un quelconque shérif ou autre représentant des forces de l’ordre au vu de la scène. Lorsque leur danse complétement désarticuler sur le sol ce stoppa il était clair que le clandestins avait le dessus et ce relevait. L’agent quant à lui haletant au sol le fusillait du regard tentant d’attraper son arme de service à sa ceinture. L’homme en noir quant à lui s’étirait en baillant à s’en décrocher la mâchoire ignorant clairement ce qui était son adversaire du moment, sa barbe pas taillé depuis plusieurs jours attestait qu’il devait être caché à bord depuis quelque temps, mais rapidement il revint à la réalité lorsqu’un cliquetis ce fit entendre tandis et que le contrôleur commença à pointer son armes sur lui en vociférant :

« Par les pouvoir qui me sont conférer vous êtes en ét… »

Il n’eut pas l’occasion de finir sa phrase, le malheureux était sur plus fort aujourd’hui ou tout du moins plus vif et pas de peu un coup de feu retenti brisant le meuglement du cheval de fer luttant pour quitter la ville … mais l’arme du clandestins n’avait pas quitter son holster et le contrôleur gisait au sol inanimé, les yeux clos … on avait beau chercher pas une goutte de sang coulait des deux hommes et pourtant tout était terminer les instant précédant fut en un sens long pour un final aussi court l’homme en noir agitant sa main dans le vide comme pour la soulager, dominant de tout son long son adversaire qui n’avait pas eu le temps de quitter le sol. Ceux qui aurait pu ce concentrer sur la scène aurait pu décrypter ce qui venait de ce passer ou le voir réellement, si il avait l’habitude de voir ce genre de scène, le regard s’entraine pour percevoir au travers de l’expérience, un profane ne verrais que par bride et en tirerait des conclusions. Toujours était t’il qu’au cliquetis ce fut avec la rapidité d’un ratle-snake que l’homme encore debout dévia le canon de l’arme de sa direction en abattant lourdement sa botte sur le poignet de l’homme qui le menaçait de son arme avant d’asséner deux rude coup de poing rapide ciblant tout d’abord la tempe pour désorienter suivit du menton mettant ko net l’agent ferroviaire, violent ? Non, aucune effusion de sang même le coup de feu qui partit sous le choc avait fini sa course dans le tronc d’un arbre, une situation parfaitement maitrisé. On aurait pu même y trouvé un certain charisme si juste derrière l’homme ce remis pas à bailler la bouche grande ouverte avant de se masser le menton en s’étirant de tout son long pour re finir le dos quelque peu vouté comme lasse de cette journée qui semblait commencer pour lui.

C’était le regard morne comme trop habitué à ce genre de scène qui passa sa main dans une épaisse tignasse pour la plaqué sur son crane avant de partir en trainant les pieds vers son stetson qui avait échoué non loin, ce penchant pour le ramasser il le claqua sur sa cuisse pour l’épousseter rapidement  faisant tinter légèrement d’un son cristallin les anneaux qui y était accroché et alors qu’il le coiffait il remarqua qu’on l’observait bloquant quelque peu pour s’attardé sur ladite personne le regard dans le vague.  Il finit par replié son bras et porté l’index sur ses lèvre pour émettre un très court :

« Chuttt … ! »

Ce rendais t’il vraiment compte du bordel qu’il venait de faire ? On pouvait en avoir quelque doute parce que niveau discrétion il y avait encore du travail à fournir mais après avoir remis et réajuster son couvre-chef qui s’inclinait légèrement sur la droite il repris la parole tout en époussetant con costume rapiécer.

« J’sui’ d’soler du dérang’ment »

Décidement qu’elle conversation … intense après une action pareil, probablement qu’il ce sentait en « sécurité » maintenant que le train c’était éloigner bien qu’il lorgnait de temps à autre sur son adversaire pour voir si il bougeait encore ou reprenait connaissance. Engager une conversation après pareille situation aurait révéler de la folie dans d’autres ville mais ici qui savait ce qui se produirait …





Spoiler:

HRP : désolé de l'attente Lily ce que j'écrivais me convenais pas donc j'ai été plus long que prévu, mais j'espère que sa te plaira hésite pas à me le dire dans le cas contraire.
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